Hier 7 juillet, une première rencontre formelle a eu lieu entre le STIF et la Société du Grand Paris pour jeter les bases des relations entre les deux instances : un projet de convention devrait définir les rôles respectifs - et surtout celui du STIF - dans l'élaboration du projet du métro automatique de rocade pour lequel on cherche à savoir qui réellement est l'autorité organisatrice. Autre enjeu, faire en sorte que le plan de mobilisation régional sur le réseau existant soit conduit au rythme convenu de sorte à éviter de succomber à la tentation de mettre en avant un projet pharaonique encore à l'état de papier au détriment de la modernisation des RER et du développement des tramways et tangentielles.

Affaire à suivre donc, d'autant que le sujet de l'avenir du Grand Paris ne manquera pas de s'inviter dans le ballet des sujets de campagne électorale au printemps prochain...